🏉 J Abandonne Une Partie De Moi Que J Adapte

JustineLequette J’abandonne une partie de moi que j’adapte Après l’expérience vécue ces derniers mois par chacun et chacune d’entre nous, comment ne pas reprogrammer ce spectacle qui aborde, de manière à la fois poétique et politique, la question du travail et plus encore du bonheur. Jabandonne une partie de moi que j’adapte Mise en scène par Justine Lequette 12 → 14.05.2022 Tout public Grande Salle 1h10 Dates et heures Réserver Heureux ? « Êtes-vous heureux ? » c’est la question emblématique du film documentaire « Chronique d’un été » de Jean Rouch et d’Edgar Morin, Prix de la critique internationale à Cannes en 1961. J'abandonne une partie de moi que j'adapte" Théâtre Liberté 5 octobre. Culture et loisirs. 20/09/2021. Synopsis: Les années 60 : bouteilles de rouge, moustaches et cigarettes, ça fleure bon une « certaine idée de la France ». Un demi-siècle plus tard, pleins d’entrain et de fausse naïveté, les jeunes artistes issus du Conservatoire de Liège, en Belgique, mettent Entreécriture de plateau et effluve de Nouvelle Vague, le spectacle, d’une esthétique toute en mouvance, nous laisse percevoir quel curieux sens nous donnons à nos vies. Succès du Festival Off d’Avignon à l’été 2018, J’abandonne une partie de moi que j’adapte, qui tourne toujours en France et en Belgique, se révèle d’une finesse aussi irrésistible que son Jabandonne une partie de moi que j'adapte : Inspirée par «Chronique d'un été», documentaire d'Edgar Morin et Jean Rouch réalisé en 1960, Justine Lequette est partie en quête de la Leprojet J’abandonne une partie de moi que j’adapte est né de mon intérêt vif pour un film/documentaire de 1960: Chronique d’un ét é, réalisé par Jean Rouch et Edgar Morin. Le processus même du film est porteur de sens ; deux intellectuels, Edgar Morin et Jean Roch, se réunissent autour d’un projet de film pour regarder et comprendre le monde qui les entoure. Ils Jabandonne une partie de moi que j’adapte Justine Lequette Un spectacle pertinent, très inventif d’une dynamique collective formidable ! Avec un regard poétique et politique, Justine Lequette et le collectif Group Nabla interrogent le bonheur, questionnent ce qui nous rend heureux et le sens de nos vies. Jabandonne une partie de moi que j’adapte • Théâtre des 13 vents • octobre jeu 6 19h Institut Ophélie, Nathalie Garraud et Olivier Saccomano ven 7 20h lagrotte. Je m'appelle louis et cette histoire c'est passé quand j'avais 8 ans et j'en ai 21. On été en ce2 et on avais une sortie dans un château. Au milieu de la visite on a fait une pose picnic et jeu. Avec des potes on decouvre une grotte entourée de grillage et sa porte avait un cadenas mais maintenant que j'y pense il été defoncer T1tln. À l’issue de la représentation de la pièce J’abandonne une partie de moi que j’adapte , Les artistes nous livrent des récits qui donnent corps à leurs questionnements et nous engagent à penser. Friands de ces histoires, les philosophes se glissent dans les plis de l’œuvre, débusquent les problèmes pour mieux les explorer. PhiloStory fait une nouvelle fois le pari qu’ils auront nombre de choses à se dire à l’issue des représentations et que ce dialogue sera d’autant plus percutant qu’il pourra s’appuyer sur notre sagacité de spectateurs, aiguisée par quelques gestes d’animation. L’enjeu consistera en effet à se saisir d’un problème singulier, qui émerge de la rencontre et peut surprendre les invités eux-mêmes, pour le déplier tous ensemble. A l’expérience théâtrale, succédera alors cette autre expérience collective, orale et vivante qu’est la pratique philosophique. Nous poursuivrons ainsi le décloisonnement initié depuis 5 ans entre acteurs de la vie culturelle le Théâtre, l’Université, et maintenant l’asbl PhiloCité, entre public et intervenants, et entre pratiques artistiques et philosophiques. Les ateliers mobiliseront à chaque fois un philosophe, un artiste metteur en scène, dramaturge, comédien…, le public et un animateur, et auront lieu à l’issue des représentations. Dans le sillage des universités populaires, PhiloCité entend promouvoir la pensée et le débat critiques. Depuis une dizaine d’années, l’association travaille ainsi à diffuser dans l’espace public les outils philosophiques susceptibles de donner prise sur le monde, en proposant à des publics variés enfants, adolescents, adultes des ateliers de pratique philosophique. Ce partenariat avec le Service de Didactique de la Philosophie de l’ULiège autour du projet Philostory offre un cadre idéal à leur volonté commune de faire philosopher dans la cité, en dépassant l’opposition stricte entre philosophie théorique et pratique. Une collaboration entre le Théâtre, le Service de didactique de l’ULiège, l’asbl PhiloCité et le public. Organisation et animation Anne Herla ULiège & Guillaume Damit PhiloCité. Plus d’infos Site Internet du Théâtre de Liège Conception et mise en scène par Justine Lequette avec Remi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puilbaraud et Lea Romagny au Théâtre des Martyrs jusqu’au 9 décembre. Crédit photo Dominique Houcmant Goldo Après avoir reçu le prix de la critique théâtre-danse-cirque 2017-2018 dans la catégorie meilleure découverte », J’abandonne une partie de moi que j’adapte est repris pendant une semaine au Théâtre des martyrs. Êtes-vous heureux ? » C’est la question que Jean Rouch et Edgar Morin posent dans leur cinéma-vérité Chroniques d’un été. Dans un processus de recherche, ils interrogent le bonheur et sa place dans la collectivité, en partant à la rencontre de femmes et d’hommes de milieux et de passés différents. Ils remettent en question la valeur du travail et notre relation avec. Ce film résonne avec notre époque dans un troublant anachronisme. C’est ce que Justine Lequette a dû sentir, car elle décide de l’utiliser comme point de départ et support de sa création. Ainsi, les comédiens reproduisent les rencontres qui ont lieu dans le documentaire en intervertissant sans cesse les rôles. Ils nous plongent dans l’univers retro des années 60, où l’on fume, où l’on réfléchit longuement en parlant et où l’on danse le rock avec fougue. La magie cristallise, nous sommes plongés dans ce voyage temporel. Faut-il s’adapter ? » Comme le titre l’indique, s’adapter peut être aussi, en partie, renoncer. Que faire de nos idéaux quand ils contrastent avec la société dans laquelle nous vivons ? La pièce témoigne d’un après mai 68 avec un constat douloureux. Entre rêve et désillusion, les comédiens traversent 60 ans de changements intenses. Ils brisent les frontières de la scène en nous regardant et en entrant dans le public. Les époques se font face, la rencontre avec nos parents ou bien notre passé opère. On apprend de leurs engagements et de leurs convictions. Dans une époque où le progrès constant rime avec concurrence, l’homme peine à trouver sa place dans son individualité comme dans le collectif. Le travail est remis en question, et les médias ne cessent de dire que demain sera pire. Face à ce constat, les comédiens répondent d’un jeu et d’une joie vibrante de présent. Ça va ? » résonne dans l’époque contemporaine. La question est renversée elle ne demande plus comment l’on se sent mais si l’on avance. Le monde est en perpétuelle évolution, et il faut en saisir le mouvement. Il est ce qui nous tient en vie, ce qui fait que nous sommes en lutte constante, et que nous avançons. Ce sont des corps brulants en activité qui témoignent de leurs propres ruptures avec le monde, dans un geste de résistance et d’espoir. L’expérience mise en place par Jean Rouch et Edgar Morin interrogeait le collectif, l’équipe théâtrale choisi de la vivre à leurs tours. Grâce à une écriture de plateau riche d’improvisation et de pluridisciplinarité, la pièce est audacieuse. En travaillant ensemble pendant des mois, ils exposent sur scène le vivre ensemble » que leurs prédécesseurs questionnaient. Composés d’extraits de différents auteurs et musiciens, la pièce adapte et reconstruit le passé avec des sensibilités présentes. Les comédiens apprennent, partagent et transmettent, en nous offrant une collaboration réussie. J’abandonne une partie de moi que j’adapte nous livre un théâtre du présent et de l’Histoire, bercé par la nostalgie du compositeur Aphex Twin. Hubert Amiel Au bonheur des DOMS C’est quoi le bonheur ? Et, tout simplement êtes-vous heureux ? Inspirés par le documentaire de Jean Rouch Chroniques d’un été » tourné en 1960 pas vu, pas née Justine Lequette et ses 4 comédiens, relancent aujourd’hui cette question en laissant le public chercher sa réponse. Dans un premier temps, les 4 comédiens replongent dans les années 60 costumes d’époque, lunettes à la Godard, micro-trottoir, cigarettes et vin rouge, ils rejouent le film. Dans un second temps, les voilà revenus dans une époque plus contemporaine. Que ce soit dans les années 60 ou aujourd’hui, la question posée reste la même sommes-nous heureux ? Le travail nous rend-il heureux ? Après quoi courons-nous ou à quoi rêvons nous ? Les temps ont bien changé en presque 60 ans de la fin des trente glorieuses à la crise, le monde s’est transformé les besoins aussi. Que reste-t-il du bonheur tel qu’il était rêvé ? Que nous ont laissé les dérives du capitalisme, la course à l’argent, au toujours plus ? C’est quoi travailler, c’est quoi être heureux ? Du travail engagé porté par un collectif talentueux qui pose de bonnes questions. C’est politique, poétique, énergique, porté avec un enthousiasme plein de fraîcheur et d’intelligence. Et ça, ça fait du bien. Hubert Amiel Hubert Amiel Hubert Amiel J’abandonne une partie de moi que j’adapte Justine Lequette, groupe Nabla Avec Rémi Faure, Benjamin Lichou, Jules Puibaraud, Léa Romagny Assistant à la mise en scène Ferdinand Despy Création lumière Guillaume Fromentin Festival d’Avignon OFF 2018, Théâtre des DOMS, 19h30, relâche les 11 et 18 juillet

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