⛈️ Article 400 Du Code De Procédure Civile

113.3.3 Demandes qui relèvent de la compétence du JME; 11.4 La procédure de saisie 400. Modèle de conclusions pour l’audience d’orientation et sur les mesures provisoires ou en modification des mesures provisoires ; 12.4.3.5 401. Modèle de convention de procédure participative aux fins de mise en état; 12.4.3.6 402. Modèle de conclusions au fond; 12.4.3.7 Laprocédure devant le juge de la mise en état est régie par les articles 780 et suivant du code de procédure civile, et la procédure devant le conseiller de la mise en état en appel est régie par les articles 907 et suivant du code de procédure civile. Le décret no 2019-1333 du 11 décembre 2019 pris en application de la loi no 2019-222 du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et Article1408 du Nouveau code de Procédure Civile. Créé par Décret 81-500 1981-05-12 art. 5 JORF 14 mai 1981 rectificatif JORF 21 mai 1981 en vigueur le 1er janvier 1982. Le créancier peut Article1025 du Code de procédure civile : consulter gratuitement tous les Articles du Code de procédure civile . Le Code de procédure civile regroupe les lois relatives au droit de procédure civile français. Gratuit : Retrouvez l'intégralité du Code de procédure civile ci-dessous : Article 1025. Entrée en vigueur 1980-01-01. Les dispositions des articles 396, 399, 400 et 403 s dela loi d'application du code de procédure civile suisse, de la loi cantonale sur le travail et de la législation spéciale. 4 Dans la présente loi, 2 Peuvent notamment constituer de justes motifs de dispense au sens de l'article 400 alinéa 2 CCS des charges familiales ou professionnelles particulièrement lourdes, ou encore l'exercice de fonctions publiques à un Toutefois la contrefaçon de marques de fabrique, de commerce et de service (article L. 716-9 et s. CPI) est punie de quatre ans d’emprisonnement et de 400 000 euros d’amende ; seuls les délits assimilés à cette dernière (article L. 716-10 CPI) font encourir à leur auteur trois ans d’emprisonnement et 300 000 euros d’amende. Parordonnance du 15 janvier 2021, la juridiction des référés du tribunal judiciaire de Paris, en application des dispositions de l'article 488 du code de procédure civile, a considéré que de telles demandes de rétractation de la précédente procédure de référé entièrement confirmée en appel relevait de la seule compétence d'attribution de la cour d'appel de Paris et a décliné Larticle 56-1 du Code de procédure pénale encadre les modalités de perquisitions dans des locaux occupés par un avocat, afin de garantir les droits de la défense et le secret professionnel. Pour assurer pleinement ces garanties, la chambre criminelle exige, au visa de ce texte et de l'article 8 de la Convention de Sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés . Notes sur Codede procédure civile : Article 399. Les cookies nous permettent de personnaliser les annonces. Nous partageons des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de publicité, qui peuvent combiner celles-ci avec d'autres informations que vous leur avez fournies ou qu'ils ont collectées lors de votre utilisation de leurs services. vFiJtw. Le 2 juillet 2015, le logement situé au-dessous de celui de Nathalie H. subit un important dégât des eaux. Le lendemain, le gardien de la résidence se présente chez Mme H. - sans s'être annoncé -, afin de vérifier l'hypothèse selon laquelle la fuite proviendrait de son studio. Elle refuse de lui ouvrir. . Après un échange de courriers entre le bailleur social, Domofrance, et sa locataire, un rendez-vous est pris pour le 11 août 2015. Mme H. ouvre alors au plombier, qui confirme que la fuite provient de la colonne située derrière l'évier le lavabo de sa salle de bains. La réparation nécessite une nouvelle intervention dans le logement de Mme H., mais cette dernière fait la morte. Le 24 septembre 2015, Domofrance lui envoie un courrier dans lequel il se plaint de son silence. Il propose une nouvelle intervention pour le mardi 13 octobre 2015, à 9 heures. Au jour et à l'heure dits, personne ne répond. Un huissier de justice, mandaté par le bailleur, est là pour le constater. . . Assignation en référé Une nouvelle fuite se produit dans l'appartement du dessous, le 14 mars 2016. Le bailleur envoie aussitôt à Nathalie H. une lettre recommandée avec accusé de réception, lui demandant d'entrer en contact avec un représentant de la société de plomberie US 38, pour convenir d'une date de rendez-vous. Mme H. signe l'accusé de réception, mais ne réagit pas. Elle ne répond pas non plus aux appels de la société, comme celle-ci l'indique, le 29 mars. Le 30 mars, Domofrance informe par courrier sa locataire de la venue d'un plombier, le 1er avril. Le jour dit, la locataire est présente, mais elle refuse d'ouvrir. Le 20 avril 2016, Domofrance saisit le juge des référés du tribunal d'instance de Bordeaux, afin d'obtenir la condamnation, sous astreinte, de la locataire à ouvrir au plombier. Une assignation est délivrée par huissier à Mme H. Le 27 avril, celle-ci écrit au bailleur qu'elle pourra ouvrir le mardi 3 mai. L'intervention se fait enfin ce jour-là. Néanmoins, le juge des référés condamne Mme H. à payer à Domofrance une indemnité de 400 euros, au titre de l'article 700 du code de procédure civile, par ordonnance du 13 mai 2016. . . Obligation du locataire Celle-ci fait appel grâce à l'aide juridictionnelle totale. Elle soutient en substance que les échanges de courriers avec la société Domofrance ne permettent pas de démontrer qu'elle a manqué à son obligation contractuelle de permettre la visite du logement. Elle assure avoir toujours répondu aux sollicitations du bailleur en proposant diverses dates, et indique que d'ailleurs, les réparations ont été faites le 3 mai 2016. La cour d'appel de Bordeaux, qui statue le 29 juin, rappelle que la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs article 7 impose au locataire de permettre l'accès aux lieux loués pour la préparation et l'exécution de travaux » nécessaires à leur maintien en l'état ou à leur entretien normal. Cette obligation concerne à la fois les parties communes et les parties privatives. La loi dit qu' avant le début des travaux, le locataire doit être informé par le bailleur de leur nature et des modalités de leur exécution par une notification, remise en main propre, ou par lettre recommandée avec demande d'avis de réception ». La cour d'appel juge utile de constater la proximité de la date de réalisation des réparations avec celle du prononcé de l'ordonnance de référé ». . . Temps précieux » Elle constate aussi que la locataire, sans activité, ne produit aucun élément attestant de son impossibilité de se trouver dans son appartement le 13 octobre 2015 ». Certes, observe-t-telle, elle démontre avoir exercé une activité salariée durant la période comprise entre le 7 et le 21 octobre 2015 ». Mais le seul document remis » ne fait pas apparaître que le travail ait été réalisé en un lieu très éloigné de son domicile ». En outre, la rémunération perçue, à hauteur de 57,05 euros, atteste de la faiblesse du nombre d'heures travaillées ». La cour d'appel admet que, au mois d'avril 2016, Nathalie H. a été contrainte de s'absenter de son domicile à plusieurs reprises pour des déplacements professionnels à liés à des missions intérimaires. Mais ces événements, d'une durée limitée au regard de la date des nombreuses démarches accomplies par l'organisme bailleur, ne sauraient constituer des obstacles insurmontables l'empêchant d'entrer en relation avec la société Domofrance, tant par téléphone que par courriels ». Elle juge qu' un temps précieux a été perdu par l'attitude fautive de Mme H. qui ne s'est donc pas conformée aux obligations de l'article 7 de la loi du 6 juillet 1989 ». Elle confirme l'ordonnance, et double la somme mise à sa charge, qui passe de 400 à 800 euros. . . . D’autres articles de Sosconso L’enfant passe à travers les barreaux du garde-corps ou Les nièces d’un poète russe s’opposent au transfert de sa sépulture ou Quand l’assureur refuse de garantir la scoliose ou Un cheval la mord au visage dans une écurie ou Il invente le droit d’usage par prescription » pour éviter l’expulsion ou Un chien de race doit être apte à la reproduction ou La liberté testamentaire ébranle la réserve héréditaire ou On n’élève pas de canards dans une zone résidentielle ou Le diagnostiqueur amiante ne peut se contenter d’un contrôle visuel ou Location saisonnière attention travaux ! ou Maurice Jarre avait le droit de déshériter son fils, Jean-Michel ou Le bar branché » empêche l’hôtel de dormir ou Photovoltaïque quand la justice punit les fautes de la banque » ou Je ne te rembourserai jamais » trahit une reconnaissance de dette ou L’architecte négligent sauvé par une erreur de procédure Rafaële RivaisBlog SOS conso Aller au contenuAller au menuAller au menuAller à la recherche Informations de mises à jour Gestion des cookies Nous contacter Droit nationalen vigueur Constitution Constitution du 4 octobre 1958 Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 Charte de l'environnement Codes Textes consolidés Jurisprudence Jurisprudence constitutionnelle Jurisprudence administrative Jurisprudence judiciaire Jurisprudence financière Circulaires et instructions Accords collectifs Accords de branche et conventions collectives Accords d'entreprise Publicationsofficielles Bulletins officiels Bulletins officiels des conventions collectives Journal officiel Débats parlementaires Questions écrites parlementaires Documents administratifs Autourde la loi Codification Rapports annuels de la Commission supérieure de codification Tables de concordance Législatif et réglementaire Dossiers législatifs Etudes d'impact des lois Les avis du Conseil d'État rendus sur les projets de loi Application des lois Fiches d'impact des ordonnances, décrets et arrêtés Statistiques de la norme Charte orthotypographique du Journal officiel Autorités indépendantes Autorités administratives indépendantes et autorités publiques indépendantes relevant du statut général défini par la loi n° 2017-55 du 20 janvier 2017 Autorités ne relevant pas du statut général des autorités administratives indépendantes Entreprises Tableaux et chronologies des dates communes d'entrée en vigueur Norme Afnor d'application obligatoire Guide de légistique SVA "Silence vaut accord" Droit et jurisprudencede l'Union européenne Journal officiel de l'Union européenne Jurisprudence de l'Union Européenne Droitinternational Jurisprudence CEDH Juridictions internationales ‹ Article précédentArticle suivant ›Code de procédure civileChronoLégi Article 400 - Code de procédure civile »Version à la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 01 janvier 1976Livre Ier Dispositions communes à toutes les juridictions Articles 1 à 749Titre XI Les incidents d'instance. Articles 367 à 410Chapitre IV L'extinction de l'instance. Articles 384 à 410 Article 384 Article 385 Section II Le désistement d'instance. Articles 394 à 405Sous-section II Le désistement de l'appel ou de l'opposition. Articles 400 à 405 Article 400 Article 401 Article 402 Article 403 Article 404 Article 405 Naviguer dans le sommaire du code Version en vigueur depuis le 01 janvier 1976 Le désistement de l'appel ou de l'opposition est admis en toutes matières, sauf dispositions en haut de la page×Cookies est le dépot de cookies pour accéder à cette fonctionnalité Article 400 Le conseil de famille est présidé par le juge des tutelles. Ses délibérations sont adoptées par vote de ses membres. Toutefois, le tuteur ou le subrogé tuteur, dans le cas où il remplace le tuteur, ne vote pas. En cas de partage des voix, celle du juge est prépondérante. Article précédent Article 399 Article suivant Article 401 Dernière mise à jour 4/02/2012

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