🎊 Le Gazon Pousse La Nuit Ou Le Jour

Untrafic piétonnier faible à modéré est préférable pour ce type de gazon. Les graines de fétuque peuvent prendre 10 à 14 jours pour pousser. Le Ray-grass. Il existe deux Lanuit, le Mas des Iscles se pare de ses plus beaux atouts pour not re plus grand enchantement. Le chant des oiseaux, les étoiles et les lumières rendent l’instant magique. Et si vous veniez en profiter ? Suite au grand nombre de demandes, le Mas est également à louer dans sa totalité !!! Vous pourrez ainsi en profiter pour célébrer anniversaire, enterrement de vie Uncoureur de la PTL (Petite Trotte de Léon) de nationalité brésilienne est mort, dans la nuit de lundi à mardi, suite à une chute dans la montée vers le refuge de Plan Glacier Ilest désormais à l’abandon. Le stade de la capitale départementale de la Lékoumou ne ressemble plus qu’à une savane. L’herbe a envahi l’aire de jeu, et l’on peut facilement chasser les hérissons à cet endroit. "La nature a horreur du vide", a-t-on coutume de dire. Le stade municipal de Sibiti est devenu le repère des fumeurs Lemieux est de placer plusieurs arroseurs dans votre jardin, en fonction de la surface de la pelouse, et d'installer une minuterie. Ainsi, vous pouvez vous assurer que chaque surface de gazon reçoit suffisamment d'eau. 3. Enlever les mauvaises herbes d'une pelouse brûlée. Les mauvaises herbes du gazon, qui ont des racines profondes, s Cest nuit de pluie et la levée se fait en moyenne en 15 jours. Au début on a l'impression que des zones ne seront pas garnies alors que d'autres Avecle robot tondeuse Husqvarna vous pouvez dire adieu à la tâche désagréable de faire le gazon. Passez du temps en famille ou à vos loisirs grâce à l'automower ® de Husqvarna. L'automower ® existe depuis plusieurs années, mais est surtout connu en Europe. Depuis 1995, Husqvarna se place premier mondial dans le développement de Faudraitque je me regarde un match de gazon (de première semaine de Wimbledon ou du Queens) avec un Nadal "jeune". Il éprouvait vraiment une difficulté importante à jouer les balles basses aujourd'hui. Darcis n'est pas le prototype d'un Nadal killer. Manque de puissance et ne tape pas les lignes à plat, il a juste un bon slice. Bonjour J’aurai une questions concernant quand semer du gazon. En effet j’ai un jardin où auparavant il n’y avait que du gravier que j’ai dû enlever entièrement, puis j’ai dû 4AXf. Harry Potter 2005 ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ Le ParcMatilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Ven 26 Aoû - 006 L'air joyeux de la fillette aux cheveux d'argent s'était soudain dissipé à la question pourtant anodine de Matilda. Elle avait répondu d'un ton distant "Je suis née en France, en Normandie. J'ai vécu en Angleterre et vis maintenant à Toom, en Irlande. Mon père est un sorcier qui travaille dans les affaires. Et ma Mère elle... ne travaille plus..." Les mots semblaient lui peser. Ainsi elle était d'origine française, encore une ! Décidément ils étaient nombreux à Poudlard. Mais elle avait vécu en Grande Bretagne toute sa vie, ce qui expliquait son elle vivait à Toom. Matilda ne s'attarda pas sur cette ville Irlandaise dont elle ne connaissait pas la son père était un sorcier. Et sa mère alors ? Est-elle moldue ? Connaissait-elle alors l'existence du monde magique ? Risquait-elle d'en parler aux autres moldus ? Pourquoi le père qui était sorcier était-il avec une moldue ?Ainsi il travaillait dans les affaires. Quelles genres d'affaires ? Ce n'était pas une question qui intéressait réellement sa mère ne travaillait plus. L'effort qu'avait fait Elise pour prononcer ces derniers mots était intriguant. La Serdaigle pensa d'abord à l'éventuelle mort de la mère de son interlocutrice. Cela expliquerait pourquoi son visage s'était soudain assombrit, sa mère n'était peut-être même pas moldue mais simplement plus une sorcière pour que la fillette ait besoin de le préciser. Ou bien peut-être que la qualité de moldue dela mère l'avait poussé à commettre un acte horrible qui l'avait envoyé en avait posé sa question sans grand intérêt, uniquement pour engager la conversation, en espérant ne pas trop s'étendre sur un sujet qui ne l'intéressait pas. Pourtant la réponse de la petite blonde avait piqué sa curiosité. Elle voulait en savoir plus, mais fut prise de court par le renvoie de sa propre interrogation sans intérêt "Et... Hum... Toi tu viens d'où ?- Moi je vis près de Londres, j'ai toujours vécue là bas, dans un quartier de sorciers. Mes parents aussi sont des sorciers, Ils tiennent un magasin de meubles magiques. Et puis j'ai une grande sœur et un grand frère" répondit Matilda regard recroisa celui de la Gryffondor à présent allongée sur la pelouse. Elle avait l'air pensive. Les questions de Matilda lui brûlaient les lèvres. La timidité de la fillette l'empêchait de les laisser sortir, ainsi que la gêne de l'autre petite fille face à la question précédente qui avait semblé indiqué qu'elle ne souhaitait pas partager les détails de sa vie avec Matilda. Sans doute ne l'estimait-elle pas digne de confiance. Peut-être n'y voyait-elle aucun intérêt puisque la Serdaigle était trop ennuyeuse pour mériter sa conversation. Même la fleur qu'elle démembrait était plus captivante. Ce fut presque compulsivement qu'elle reprit son air joyeux pour faire part à Matilda de l'odeur exquise du cœur de fleur qu'elle venait de porter à son nez. La sorcière bleue et bronze écarquilla les yeux de surprise et d'incompréhension. Bon très bien, puisque le sujet des origines était clos, parlons de la flore du parc."Ah oui ? je veux bien sentir. dit Matilda plus par politesse que par réel effet la fleur sentait bon. Mais cela ne méritait pas tant d'excitation."C'est vrai qu'elle sent bon. On devrait en parler au monde entier." dit elle d'un ton ironique, totalement blasé en s'allongeant dans l'herbe à côté de sa camarade sans la quitté de son regard percent dans lequel on pouvait y voir en plus une lueur taquine. Elle était marrante cette fille lunatique qui s'extasiait pour tout et n'importe quoi et qui gardait une part de mystère sur son passé. Matilda en saurait plus, lorsque le moment serait plus opportun. Elise GreenGryffondor Re Dans le jardin, sur la belle pelouseElise Green, le Ven 2 Sep - 2052 Entre ciel et terre. Entre flore et mer. Le vent dans mes cheveux argentés. Je me remémore une chanson française. Elle sort de mes pensées, passe outre mes cordes vocales et entre mes lèvres... Et s'étire vers le ciel. A travers les nuages. Les murmures forment des paroles de plus en plus distinctes... Allez viens, j't'emmène au vent... Balancement de tête, dans l'herbe, les pieds faisant des mouvements saccadés. Ma compagne d'un jour sent la fleur, me prenant certainement pour un folle. C'est vrai qu'elle sent bon. On devrait en parler au monde entier. »Je hoche la tête alors qu'elle s'allonge à mes côtés. Sans me quitter des yeux. Sans cesser de me regarder comme une bête curieuse. Je tourne brusquement la tête, l'observe, la jauge et lui relance un sourire. Je soupire doucement. L'air frais se balade sur mon visage, entre mes cheveux de neige. Contraste entre chair chaude et cheveux glacés. Je repose mon regard plein de gazon sur Matilda. Elle est intrigante cette fille. Elle me suit dans ma bêtise, dans ma légèreté. Ou alors elle a juste peur que je sois complètement timbrée et fait mine d'être dans le même délire que moi de peur que je ne lui saute dessus... Ahah, voilà qui est amusant. Un papillon azuré volette au dessus de moi, passant outre un nuage qui semble si proche et si loin vu d'ici. Vu d'en bas. Il se rapproche, j'arrête de respirer. Un instant, il se pose sur mon nez, puis s'envole vers Matilda. Je tourne lentement la tête vers la jeune fille, le papillon se pose sur son front, puis reprend sa route. Planant, battant des ailes. De fleur en fleur. Je me place sur le flanc, la main contre l'oreille, de façon à voir mon interlocutrice. Je lance alors Qu'est ce que tu veux faire plus tard, Matilda ? Moi, je ne sais pas trop. Certainement quelque chose d'important... J'aime diriger. Commander. »Mon regard se perd dans le vague, sur le gazon qui nous sépare. Oui, quelque chose d'important. Entre reprendre l'entreprise de Père ou... Travailler au ministère, pourquoi pas ? C'est un bon choix. Et c'est pas trop mal payé. Mais les abysses m'appellent de plus en plus, les secrets, la magie oubliée, les méandres obscures des pratiques interdites... J'ai un léger soupir. Le Choixpeau m'a t-il envoyé dans la bonne maison ? Ne serai-je pas plus à ma place parmi les Serpents ? Non, je me plais chez les Lions. Il faut simplement que la Lionne qui sommeille en moi se réveille. Ca ne va pas tarder, non, pas tarder. Attendre, encore. Ne pas perdre patience. Jamais. Matilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Dim 18 Sep - 2021 Le son doux du vent dans les feuilles des arbres, le lit de verdure moelleux, la chaleur agréable du soleil et sa lumière qui se reflétait dans ses cheveux ainsi que dans ceux de sa camarade, cet instant harmonieux apaisait Matilda. Elle se laisserais bercée ainsi durant des heures, à ne penser à rien d'autre qu'à ce qui l'entoure. La fillette était toujours allongée sur le côté, de manière à voir sa camarade si elle s'adressait à elle, mais son regard s'étais perdu dans le vague jusqu'à ce qu'un battement d'aile vienne la sortir de sa somnolence. Le petit insecte se posa sur le nez de la Gryffondor avant de se diriger vers le front de la Serdaigle. Ses petites ailes bleues s’arrêtèrent de battre un instant, se dévoilant au regard de Matilda qui louchait difficilement pour les observer. S'il avait été loin d'elle, elle aurait tenté de s'approcher délicatement pour voir sa robe de plus près. A présent qu'il était au plus proche, il était impossible de l'observer distinctement. Elle pouvait à peine voir sa couleur en faisant effectuer à ses yeux une acrobatie qui risquait de lui donner la migraine si elle continuait. Ce n'est que lorsque de nouveau s'envola vers d'autres cieux qu'elle pu le voir nettement mais pendant un laps de temps beaucoup trop restreint. Encore une leçon à retenir probablement. On ne voit les choses clairement que lorsqu'elles sont hors de portée. La petite blonde qui se tenait toujours devant elle imita sa position pour l'observer dans la nouvelle conversation qu'elle engageait "Qu'est ce que tu veux faire plus tard, Matilda ?" Dit-elle de manière tiens ! Bonne question. Question que La petite sorcière évitait de se poser, lassée de ne jamais trouver de réponse."Aucune idée, dit elle rapidement avant d'ajouter en souriant Je verrais bien si je trouve ma vocation au cours de la scolarité. Et toi ?- Moi, je ne sais pas trop. Certainement quelque chose d'important... J'aime diriger. Commander." répondit sa camarade, excitation du début semblait s'être dissipée. Voilà qui était intéressant Elle était ambitieuse et aimait diriger. Les qualités qui avait manqué à Matilda pour l'envoyer à Serpentard n'avaient pas suffit non plus à Elise pour faire partie des Verts et argents. Cela n'avait pas l'air d'affecter ses projets pour autant, si l'on pouvait les nommer se laissa tomber sur le dos et plaça la main gauche sous sa tête et la main droite sur le ventre avant de déclarer "Alors moi c'est pas du tout mon truc la direction. Je n'aurais aucune crédibilité en chef, et ce serait trop de responsabilités pour moi je pense, j'aurais toujours trop peur de mal faire" dit elle avec un léger rictus à la fin de sa elle se tourna à nouveau vers sa camarade et plaisanta d'un ton faussement solennel "Tu sera Ministre de la Magie, et moi je serais vendeuse de meubles dans le magasin de mes parents."Son ton caricatural confirma l'une de ses peurs qu'elle ne voulait pas avouer puisqu'elle savait être sa destinée Devenir comme ses parents. Elise GreenGryffondor Re Dans le jardin, sur la belle pelouseElise Green, le Dim 9 Oct - 1843 Wow, j'ai du retard noooon sans blague ? ! Milles excuses... - Alors moi c'est pas du tout mon truc la direction. Je n'aurais aucune crédibilité en chef, et ce serait trop de responsabilités pour moi je pense, j'aurais toujours trop peur de mal petite camarade réajuste sa position dans l'herbe tendre. Est-elle timide ? C'est bien ce que je pensais, mais je n'ai rien dit. C'est vrai qu'elle fait un peu réservée mais... Bon, pour commander, il ne faut pas avoir ce défaut. Enfin, ça n'en est pas un véritable. Disons juste qu'il est partiellement handicapant. Je ne suis pas comme elle. Je ne suis pas réservée. La preuve ! Je suis allée vers elle. Inconnue à mes yeux. Je tourne la tête et sourie à ma camarade. Je fixe le ciel, alors qu'elle Tu sera Ministre de la Magie, et moi je serais vendeuse de meubles dans le magasin de mes éclat de rire m'échappe. Son ton est cynique. Je ne sais pas trop si elle veut rire, ou si elle est sérieuse... Je réplique alors lentement, en essayant de paraître la plus naturelle Ministre de la Magie... Je ne sais pas. Mais en tout cas je ne deviendrai jamais comme mes parents. Ils sont un peu... Austères.. Enfin, surtout Mère. Père est un peu plus laxiste. En même temps, il passe son temps à l'étranger. Je ne le vois pas souvent. Quand j'étais plus jeune, nous étions rassemblés tous les jours mais maintenant la vie est un peu plus triste. Je tourne la tête vers elle et m'empresse d'ajouter, sur un ton qui se veut rassurant - Mais je suis heureuse malgré tout ! Je me lève soudain, me plante devant elle et l'observe, les mains sur les hanches. Depuis combien de temps suis-je là ? Je me suis levée trop vite. La Terre tourne trop vite, sous mes pieds. J'ai un sourire, puis je lance à Matilda - Il est temps que j'y aille. Ce fut un plaisir ! J'espère qu'on se recroisera un de ces quatre ! A plus Matilda !Je lui adresse un signe de la main et un clin d’œil, puis me dirige en silence vers le château. Quelle belle journée !Fin du RP pour moi Matilda GraylingSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseMatilda Grayling, le Dim 13 Nov - 131 Le rire carillonnant de Elise fit sourire Matilda à son tour. Sa camarade dit finalement d'un ton neutre qui ne parvenait pas à dissimuler un sentiment plus profond "Ministre de la Magie... Je ne sais pas. Mais en tout cas je ne deviendrai jamais comme mes parents. Ils sont un peu... Austères.. Enfin, surtout Mère. Père est un peu plus laxiste. En même temps, il passe son temps à l'étranger. Je ne le vois pas souvent. Quand j'étais plus jeune, nous étions rassemblés tous les jours mais maintenant la vie est un peu plus triste."Encore cette distance lorsqu'elle parlait de ses parents. Encore ce poids qui semblait peser sur son petit cœur qui entrait à peine dans l'adolescence. Comme Matilda. Les relations familiales était étranges chez tout le monde, plus ou moins agréables, et leur âge ne faisait qu'accentuer le sentiment qu'elles éprouvaient pour leurs parents. Matilda se sentait décalée, détachée de sa famille. Elle ne parvenait pas à distinguer les sentiments qu'éprouvait l'autre première année à ses côtés, mais il y avait sans doute une certaine distance entre elle et ses parents également, le fait de les appeler "Mère" et "Père" le trahissait. Matilda aurait aimé en savoir plus."Mais je suis heureuse malgré tout !" déclara son interlocutrice précipitamment avant de se lever est temps que j'y aille. Ce fut un plaisir ! J'espère qu'on se recroisera un de ces quatre ! A plus Matilda !- Salut Elise ! Je suis contente qu'on ait parlé aussi, on se recroisera sûrement, à bientôt !" répondit Matilda en s'asseyant dans l' fillette lui fit un signe de tête avant de tourner le dos à Matilda pour se rendre au château, ses cheveux d'argent s'envolant au gré du vent. Drôle de personnage. Sympathique, un peu excentrique, repris son manuel en quête d'étude, comme si la conversation n'avait pas eut lieu, alors qu'elle avait fait prendre une toute autre tournure à la journée de la petite Serdaigle qui avait commencée avec la boule au ventre par peur d'être persécutée, c'est le cœur léger de s'être peut-être fait une nouvelle amie qu'elle se terminerait. Non, ne nous emballons pas, elles avaient juste discutées dans le parc, pas échangé les paroles de l'amitié.[Fin du RP]HRPG Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Ven 30 Déc - 1122 RP privé avec Gabrielle PhoenixMusique...Qu'avais je demandé ?Qu'aurais je pus faire ?Tant de question qui me passe par la m’obscurcissent les les retourne encore et j'ai beau essayer je ne parviens n'arrive pas à fichue réponse à mes doucement les larmes se mettent à yeux regard forme comme un voile devant mes toile que je ne souhaite que pouvoir réellement y ? Qu'ais je fais ?Serait-ce une punition ?Je sais que je la cause des douleurs que j'ai ce monde, tant de gens qui ne m'avait rien je suis seule perdu le chemin tout tracé qui défilait sous mes voulu me une nouvelle je me suis maintenant j'erre la caresse du soleil qui se est la rosée sous mes j'avance sans infinie de mes d'éternité qui se brise à mes ne suis plus, ai-je jamais été ?Je sens mon sang cœur battre et ma poitrine se vis du est-ce depuis que je m'en suis rendu compte ?Depuis que je ne suis plus qu'une des faut que je me je me suis déjà tellement rien n'importe n'y a plus personne pour m' rendre la lumière que j'ai tant vie est cruelle et ne fait pas de pour les gens comme abandonné. C'est sans doute ce que je n'ai plus la force de me l'envie de je habitude c'est n'ai pas envie de me tout de si je n'ai plus de si je ne suis plus que il reste quelque sentiment longtemps simple lumière brillant dans le suffirait de la le cauchemar prendrait bien ne sais plus. Peut-être que suis-je déjà en plein tout j'ai toujours vécu dans l’ des des je demandé ?Je ne voulais qu'une enfance n'était pas trop espérer…Mais non, c'était bien trop a fallu qu'ils me briser, me cela leur a-t-il apporté ?Une fillette sans de de gérer sa ont fait naître le poisson de la haine en moi. Et maintenant, aujourd'hui je ne suis plus qu'un une arme, une lame ne fais pas de cadeau, ce n'est pas ma dois évacuer mon la douleur est tout ça fait moi, je me consume petit à dois faire mal et couler le sang de ma lame si de mes ne peux pas en je n'ai pas le ne peux pas trouver la bonne avant qu'ils ne finissent par m'envoyer à là tout sera suis faut que je m'en la lumière est si n'est pas faute d'avoir essayé de l' y a bien des gens qui ont voulu m' poufsouffle au regard de pu bonheur était présent et si jaune m'a pris par la que tout nous m'a l'ombre est que j'appelle homme qui aurait tant dû m' nous a a doucement pointé sa baguette sur d'un sortilège m'a offert une once de centuple de ce que j'avais pu ressentir jusqu' hurler, ne sert à pour pour eu mal, si mot pour ne pas blessure, ouverture dans ma robe blanche imbibée de a écrit ce que je vois toujours à mon ? lui ? cause de lui ? que je l'aimais ? peut bien couler la douleur elle cesse en ne me quitte pourquoi » n'ont jamais de pour moi en tout m'assieds dans la marrée de chatouille doucement mes lentement mes yeux se se rouvrir aussi ne veux pas à cet mes paupières sont combien de temps n'ai-je pas dormi ?Combien de nuits blanches puis-je compter ?Trop pour résister au pour être encore en être encore mourir de fatigue ?Littéralement ?Tomber et ne plus ce est cette fille ?Ce corps dans lequel je suis enfermée .Ce n'est plus ne suis plus une simple contacte mouillés des végétaux contre mes meurtrie par le nombre de châtiments j’ quelque chose qui n'arrivera personne qui n'existe l'espoir est toujours je ne peux que me plier à sa patienter sans guide, une lanterne sur le ai tellement je le sais tout au fond de une fois personne ne voudrait aider quelqu'un comme moi ?Une personne brisée au-delà de ce que l'on peut n'ai sans doute plus d' j'ai besoin de ne pas continuer d' édition par Ellana Lyan le Sam 7 Jan - 1415, édité 1 fois Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Lun 2 Jan - 1147 Bon bah... j'ai été bien inspiré! Oups... Je retourne aussitôt bloquer! Le temps des fêtes n’était plus très loin, le temps de son retour approchait, ce qu’elle avait hâte ! Ces quelques mois passés au château ne s’étaient pas particulièrement mal passés, disons simplement qu’ils s’étaient déroulés, sans lui demander son avis. Elle avait fait quelques rencontres, rien de très marquants cependant, des élèves à droite, à gauche, de sa maison et d’autres. Elle se concentrait surtout sur les cours, et le passage de ses prévu en fin d’année. Elle passait le plus clair de son temps dans la tour des serdaigles, où elle se sentait plus à l’aise qu’en première année. Elle avait enfin compris qu’elle n’avait pas le tempérament de feu des gryffondors, qu’elle était appelée à développer d’autres capacités. Elle essayait d’en apprendre le plus possible, à travers la lecture notamment, quand la bibliothèque de château ne lui suffisait pas, elle n’hésitait pas à passer une tête chez Fleury et Bott. Elle en profitait pour se promener sur le Chemin de Traverse ce qu’elle aimait faire depuis matin là, l’adolescente avait traîné au lit durant plusieurs dizaines de minutes, son premier cours de la journée n’étant qu’en fin de matinée. Elle descendit à la grande salle pour prendre son repas, seule comme à son habitude. Cela ne la dérangeait pas plus que ça, elle n’avait ainsi pas à suivre des conversations la bouche pleine, et à faire face aux élèves matinaux tout joyeux dès l'aube, ce qui n’était pas, vous l’aurez compris, son cas. La grande salle était quasi vide, comme la plupart des étudiants étaient déjà en cours. Son repas fini, elle jeta un coup d’œil à sa montre, il lui restait encore du temps avant son cours et elle était à jour dans son travail. Petit soupir. De satisfaction ou d’ennui ? Comment combler ce temps ? Ce temps à dépenser, à consommer, à perdre... Certains en rêveraient, seraient prêt à la payer pour quelle leur concède quelques-unes des longues minutes de répit dont elle disposait dans la journée. Gabrielle était simplement organisée, studieuse, et mine de rien l’absence de relation amicale lui libérait beaucoup de temps dont elle jouissait seule. Elle attrapa une veste décidée à aller faire un tour dans le parc qui ne devait pas être surpeuplée à cette heure. En sortant, elle sentit l’air froid, mais pas glacial, s’engouffrer dans ces poumons. Un temps de printemps canadien songea-t-elle amusée. Son référentiel climatique était bien perturbé depuis son arrivée sur le sol anglais. Elle se mis à marcher tranquillement, et décidant tout de même de rentabiliser son temps, elle décida de préparer mentalement une liste de présents qu’elle comptait offrir à ses proches. C’était incroyable ce que l’activité libérait la créativité. Vous connaissez tous ce syndrome de la page blanche, n’est ce pas ? Si, si vous savez bien, ce moment horrible où assis face à une feuille rien ne vous vient. C’est la panne sèche dans votre tête. Alors que quand vous gambadez dehors, curieusement vous avez dans la caboche de quoi écrire un roman. Ce petit syndrome touchait aussi souvent notre aiglonne, c’est pourquoi elle avait choisi une alternative autre que l’assise derrière un bureau. Si seulement en promenade elle avait une plume et un parchemin volant à ces côtés en permanence ! Elle tacha donc d’évoquer plusieurs idées tout en flânant entre les pelouses. Elle avait du temps libre, encore, en fin de semaine qu’elle avait prévu de consacrer à ses achats à Pré-au-lard, elle trouverait sans doute de quoi ravir ceux qui lui étaient chers. Un sanglot vint interrompre le cours de ses pensées. Mais d’où provenait-il ?D'une silhouette de dos, posée sur la marrée verte qui luisait d’un reflet nacré. Le sol devait être mouillé, pourtant ladite silhouette ne semblait guère s’en soucier, accablée, accaparée par sa douleur. Une douleur qui semblait impossible à contenir en elle, puisqu’elle la laissait s’exprimer dans son corps. Ce corps de jeune fille. Blonde. Une chevelure platine retenue par un serre-tête. Gabrielle fronça les sourcils, cela n’était pas sans lui rappeler une crinière identique découverte au cours d’études des moldus, il y a une dizaine de jours. Aujourd'hui, maintenant, c’était le bon moment. Elle s’approcha de quelques pas, l’autre élève devait surement l’avoir entendu approcher, marquer une pose puis se diriger vers elle. Ne voulait pas trop la surprendre ou avoir l’air menaçante, l'aiglonne se plaça face à l'autre adolescente, en maintenant une certaine distance pour ne pas violer l’intimité de cette dernière. Elle s’accroupit à son niveau pour ne pas avoir l’air de la lui dire maintenant ? " Salut, comment vas-tu ? " Mal forcément, ça se voit bien ! " Qu’est ce qui ne va pas ? " Peut-être qu’elle n’a pas envie que tu le saches ! " As-tu besoin de quelque chose ? " Pas mal… " Besoin " mmh bof en fait, elle risque de se sentir redevable. Bon, on va essayer quelque Salut… fit alors la bleu et bronze d’une voix douce, ça n’a pas l’air d’aller constat. Réaction dénuée d’intérêt en apparence, mais que faire d’autre ? Cela laissait la blondinette libre de tout, de confirmer ou d’infirmer la supposition, Gabrielle ayant pris garde de ne pas formuler d’affirmation pour ne pas la froisser. Si elle refusait sa compagnie, la brunette ne serait pas contrariée, certaines personnes n’avaient pas besoin des autres quand elles exprimaient leurs peines… dans un premier temps. Par la suite, la serdaigle pensait qu’un soutien humain était nécessaire, même s’il était si dur parfois de reconnaître en avoir besoin. Etre fort ne signifie pas être seul…Dernière édition par Gabrielle Phoenix le Ven 6 Jan - 1145, édité 1 fois Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Mar 3 Jan - 1113 Musique...Une musique à mes air fait couler l' brûlantes sur mes de tenter vainement de les ont leur place mes yeux et le un visage attitude de n'attends plus de ce vent passe sur mon brise fait un instant voler mes mon visage de douleur au maman, ce que tu as fait ?Une mère aussi aimante que ne parle plus de ma de cette autre qui porte tous les mère qu'attends-tu de moi ?Que cherches-tu dans ma souffrance ?N'en as tu pas assez ?De me voir assise comme ça ?Brisée comme je l'ai jamais ne prends-tu plus soin de moi ?Ne suis-je plus un de tes enfants ?Une de ces filles que tu chéris me tournes-tu le dos ?J'ai besoin de toi…Maman…Je suis seule et j’ la chance la vie puisse me il n'y a Détruisez-moi alors…Brisez-moi puisque vous ne pouvez ne savez plus m' reconnaître, me vous l'avez pourtant toujours ne m'oubliez vous en je ne sois pas qu'une tant d' moi exister encore un je marque mon temps de quelques reprenez- tel en est votre en votre de cet affreux je ne cherche plus un élan d' soupçon de ne l'est plus quand seule compte la a perdu sa besoin de quelqu' me berce et sèche mes t'en supplie de tous mes ne compte plus mes pardonne-moi et je sortirais de ma besoin de toi, Salut… ça n’a pas l’air d’aller porte mon regard sur la quelqu'un tant désirer qui vient de me plus je la fille qui même cours que l'enfant qui ce un ange ?Est-ce elle que tu m’envoies ?Non. Les anges n'existent c'est une oiseau ça quand c'est cloué au la petite elle n'est pas comme ce doit être fée qui est venue se pour me juste que ce n'est pas un créature de l' alors nous serons du moins elle aussi fichue l' non je ne crois devant le regarde à travers le forment mes meurs d'envie de lui c'est elle l'ange que l'on m'a n'est pas comme si la magie n'existait je me demande tout de ce n'est pas, un simple Bonjour…On s'est déjà vue je priori dans un que fais-tu là ?Je ne cherche plus à à qui masque est longtemps j'ai vouloir me forte, sans ne suis plus une une gamine on a coupé les qu'elle juste à se souffrance me pris dans ses tout cela n'est qu' les cauchemars ne me laissent aucun tellement pour m'endormir sans rêver de c'est impossible sans cesse reviennent les les a associé à de l' que je me sente fois que je fichu que j'ai qu'en permanence je genre de subir ça à son propre je suis perdue et je un océan de mer de doucement mon embarcation je me vois tomber dans les je ne me débats n'ai plus la force. Plus le me laisse comme un vers les eaux fermer les yeux mais quelque chose m'en qui a parlé me tient son regard, de ses m’empêche de tomber comme je ne peux pas encore, ça ne serait pas finir avoir pu une bleue non quand même une on y je reste assise ne sombre sol mouillé me glace les je n'ai que faire de suis bien la mort et la le matin, le finirais plus viendra le quand elle sera sera mieux Vois-tu ? Comprends-tu ?As-tu déjà éprouver ?Ce sentiment d'être ne plus comme une âme sans tourner dans un cercle ne plus rien un ange petit bleu ?Un oisillon comme Mary ?Descendue tout droit des rendre un sens à ma ne me prend pas pour si je ne suis pas tout à fait saine d' te vois avec une bon, la regarde un ça ne fait pas de bien un n'est pas possible pire si je me je à perdre ?N'est-ce pas plutôt un compliment ?Si j'en suis presque autant qu'elle le prenne n'a pas l'air je fais ce qu'il me chante. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Dim 22 Jan - 1850 Mille excuse pour ce retard choupette, j'espère qu'en lisant ce que tu m'as inspiré tu vas me pardonner!La jeune fille révéla son visage baigné de larmes à la serdaigle. Elle ne semblait pas en avoir Bonjour… répondit-elle d’une voix effacée. Si sa bouche avait des yeux, ils seraient probablement perdus dans le vague, au loin. - On s'est déjà vue je crois. À priori dans un cours. Mais que fais-tu là ? questionna-t-elle vent froid venait faire rougir ses joues ruisselantes, laisser sa marque, sa brûlure sur la peau pâle du serpent. Ses yeux s’agrippèrent à ceux de l’aigle. Comme une sensation de déjà Vois-tu ? Comprends-tu ? As-tu déjà éprouver ? Ce sentiment d'être perdu. Oui… - De ne plus exister. D'errer comme une âme sans vie. Complètement délaissée. Je l’ai déjà vécu…- De tourner dans un cercle infini. De ne plus rien m’en souviens comme si c’était hier…Gorge qui se sert. Mots qui frappent juste. En pleine cible. En plein cœur. Qui résonnent dans les tréfonds de son être. Douleur va renaître. Poids grandissant au creux de son estomac. Une pierre qui l’entraine vers la terre, qui l’oblige à plier le genou. Qu’elle tente de refouler, d’oublier. Mais ces mots viennent l’ rajouter une couche, une épaisseur, une que l’aigle est à terre avec le serpent dans la cavalières désarçonnées de leurs quilles renversées par la anges déchus. Peut être viennent-elles du même royaume céleste?Elle aurait aimé porter coups et et bleus ont disparus mais les mots résonnent des couteaux dans son de sang, pas de viennent parasiter sa ce n’est pas son tour, ce n’est pas son moment. Sa peine, ses douleurs ont été épongées. Même si les rêves en sont un rappel Es-tu un ange petite bleu ? Un oisillon comme Mary ? Descendue tout droit des cieux. Pour rendre un sens à ma ? Ma douce, ma seule amie ? Puis-je encore parler d’elle en ce terme ? Mary, est-ce à cause de mon absence qu’elle a… dégénérée, qu’elle a laissée la porte ouverte à Folie ? Si je l’avais comblée de ma présence, les choses auraient été si différentes. Sentiment de culpabilité immonde. Nausées à ses m’en veux. Je me dégoute. J’exerce ma n’étais pas assez forte pour moi-même, qu’aurais-je pu faire pour toi, innocente Mary ?Et toi sinople blessée, que puis-je faire pour t'aider?Je n'ai pas même trouvé le sens de ma vie, comment puis-je t'aider à te réaliser?- Non ne me prend pas pour folle. Même si je ne suis pas tout à fait saine d'esprit. Je te vois avec une auréole. Alors bon, tant ? Non, tu ne semble pas l’être. A l’agonie, osera-tu l’admettre ? Dans tes yeux, je vois ton être que tu laisses apparaître, peux-tu devant moi te le permettre ?Un dans les cœurs face à l’ t’entends. Tu as tellement besoin d’être plus que t’écoute. Tu as tellement besoin d’être écoutéeJe te vois. Tu as tellement besoin d’être vue telle que tu de le vois en sont ceux qui en sont puis-je ?En utilisant un besoin de mot pour traduire ce qui se corps parle pour elle semble avoir soif de paroles, de pommade. Il est trop tôt pour venir l’étaler sur ses à elle a premiers étape sécuriser le lieu. La blessée et la secouriste ne craignent rien de plus en cet endroit que la mâchoire du vent, prête à leur donner une morsure étape évaluer l’état de la victime. Mauvais. Au étape trouver l'aide nécessaire. Moi. Je ne suis pas là avec toi. Je suis là pour toi. J’éluderais donc sa première étape donner les premiers soins. Commencer par laisser s’exprimer la souffrance. La douleur. Et la reconnaître. Elle est là. Indéniablement. Vouloir rassurer trop vite la délicate tête blonde pourrait produire l’effet inverse, elle pourrait y voir une négation, un refus d’acceptation de sa secoue doucement la tête. - Je ne suis pas un ange, juste une élève, une parmi d’autres. Mais contrairement aux autres je suis là, ici et maintenant. J’ai tellement de chose à dire mais je crains tellement mal agir, mal m'exprimer, je ne veux pas qu’elle souffre davantage, je ne veux pas remuer de lame dans sa plaie, je ne sais que trop bien ce que ça fait. Je laisse sortir quelques mots, délicatement choisis, en soutenant son regard, elle n’est plus seule. Mais comme elle est déjà noyée dans les abysses de la souffrance, je ne veux pas la submerger d’un tsunami de Le truc avec la souffrance, c’est qu’elle exige d’être ressentie… Et d’être empreinte des mots qui ne sont pas les siens. Mais qu’importe s’ils tombent Que se soit par des mots ou des larmes, ça fait du bien de les libérer, c'est indispensable... On garde parfois sa douleur bien en soi parce qu’on pense qu’il n’y a rien d’autre, qu’on est devenu sa douleur mais c’est faux. Tu es toujours là, tapi au fond de toi-même. Ça nous rassure de ressentir de la peine parce qu’elle nous rappelle qu’on est toujours en vie... Sa voix manque de s'éteindre aussi. Mais elle ne peut pas se le permettre. Ce n'est pas pour elle qu'elle joue cette terriblement peur de ce que je dis, je veux qu’elle ressente que je ne la juge pas pour quoique ce soit. Qu'ai-je fais dans sa situation?Cache tes blessures, n'en parle attention, le secret d'états d'âme, pas de comment je pensais m’en libérer, m’en délivrer… Je croyais que c’était cela être forte… Mais je me trompais ta le poison qui te ronge comme de l' ' bloque la de de mieux souffrir qu'être en moins, c'est un état jour tu craques, tu laisses une faille d'où s'écoule le pus de tes ou purifie ton tout produit faut prier que ce jour là, une personne soit purification est un grand chute l'issue est faut une personne pour nous rattraper, nous récupérer au que, pensant bien faire,L’on ne s’écrase face contre terre… La douleur, c’est purement subjectif. Il n’y a pas de grande ou de petites douleurs. Il n’y a pas de douleurs pires ou moindres. Qu’elle soit physique ou psychiques, méritée ou non, il n’y a nul besoin de le ne sais pas quel mal te ronge, mais tu as le droit de souffrir. Car c’est un droit pas un n’a pas à me raconter son histoire. Je l’y invite s’il elle le souhaite, si elle en ressent l’envie, le besoin. Elle n’a pas de compte à me rendre, de justification à me faire. Juste parler et avoir l’assurance de les mots qu’elle laisse couler - le poison qu'elle élimine de son système - tomberont dans une oreille attentive peut l’aider. Parfois, il n’y a pas besoin de plus. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Sam 28 Jan - 1937 Musique mais va falloir la passer en boucle...J'aimerais…Qu'on me ma vie en mieux aurais-je droit à une deuxième chance ?Non, il n'y en a pas, des gens comme vivent de de mes des ne suis plus que j'erre sans cet autre monde si loin de j'aimerais…Mais tu vois je n'ai pas le choix, entends ma complainte au ciel, vois mes larmes ruisselant sur mon visage déchiré. J'ai mal tu sais, au fond j'ai toujours connu cette douleur. Et là-haut, par-dessus les nuages, je vois un visage qui me nargue, destin, ait pitié, sauve-moi de cette injustice, j'ai besoin… Tellement besoin. Qu'on me sauve, qu'on me brise. Contradiction ? Préservée ou déchirée. Ce n'est qu'un choix, une stupide décision à prendre. Fait l'a ma place, je t'en conjure, lance la pièce dans l'azur de cet endroit céleste. N'ai pas peur, montre-moi, pille ou face ? J'attends ton jugement… Je ne le crains pas mais m'offre à lui, dans cette dernière espérance. Envoie-moi un signe, même si ta main tremble, que ton regard s'embue et que tes lèvres s'étirent, je mérite de savoir… Je t'en supplie… Ne joue pas avec moi, je suis déjà si affaiblie. Que me reste-t-il ? Je n'ai plus rien… Ni but, ni objectif, je ne suis qu'absence et désillusion. En-mène moi je t'en prie confie-moi à ta sœur… Faucheuse mortelle qui d'un coup parfaitement maîtrisé, pourra couper sans regret, le simple fil qui me rattache à la terre, laisse-moi périr et lentement, me faire bercer dans ses bras. Je ne vaux pas plus que ça, offre-moi des ailes noires, laisse-moi devenir un ange des ténèbres, créature déchue des enfers. Pourquoi me refuses-tu ce droit ? J'ai le droit de connaître la vérité… Dit moi simplement, s'il y aura une suite à mon existence ou si je suis condamnée à planer comme je le fais maintenant. Mes yeux se ferment, simplement. Que fais-je ici ? Je tourne la tête vers l'autre. Une sauveuse ? Non un ange… Je le vois comme si elle l'avait écrit en grand sur son le sens comme si mon instinct me le fille n'est pas une simple élève, c'est un me sens légèrement coupable, ne devrais-je pas fuir ?Suis-je assez digne de lui parler, moi la fille de la nuit ?Sans doute ne le serais-je jamais, mais je ne puis serait lui manquer de respect, à elle… Créature de a pris la peine de se pencher sur mon cas, d'être ? Devine-t-elle ? Voit-elle ?La créature, le démon qui sommeille en moi ?Cette chose incontrôlable créée par la folie de mes par la mienne, je ne sais plus, ne veux plus ne suis pas capable, pas assez forte pour assumer pareille si grosse remise en question… Et puis, l'ange me parle. Ses mots chantent. Ses mots s'envolent. Font vibrer délicatement mes tympans…Elle veut que je m'exprime… Que je me libère. En suis-je capable ? Je doute sans cesse. Parler d'eux, de lui… Y arriverais-je ? Je ne sais pas… Cette fille est une parfaite inconnue, elle nie être un ange, pourquoi veut elle me mentir ? Sans doute a-t-elle besoin de cacher son identité aux yeux du commun des mortels… Ou bien, peut-être qu'elle a vu ma noirceur profonde, qu'elle a pris peur et n'a pas oser me parler de ça. Je ne suis qu'une idiote ! Mais quand je vois ses yeux emplis de compassion, mes remords s'envolent. Elle n'a pas eu peur, elle ne voit pas le démon. Elle doit sentir en moi ce que certains appellent le bon côté, ce que je considère comme quasi inexistant chez moi. Je n'ai jamais vraiment vu cette partie de mon être, peut-être juste aperçue, mais elle a disparu. Je le sais, je le sens… Elle est partie avec lui. Avec Albus, avec mon cœur et ma maintenant, je ne suis plus qu'une âme vide, morte, tannée par la souffrance. Ô douleur, je t'en prie, ai pitié de moi. Je ne suis pas assez forte pour te résister, j'ai cru, j'ai voulu… Mais tu avais raison, je ne suis qu'une créature condamnée, emmène-moi, met fin à mes jours. Je ne crierais pas je te le promets. Je serais docile, comme il l'a voulu l'autre soir, comme il me la demandait quand j'ai frappé la rouge, quand son sang à perler la neige immaculée. Je l'ai vue à ce moment, l'horreur sur son visage, mon cœur déchiré par son expression. Comme s'il apercevait enfin, le monstre qui se cachait en moi. Ce serpent que je tentais chaque jour de combattre mais que j'ai fini par ne plus maîtriser. Je me suis fait piéger à mon propre jeu. J'aimerais tant qu'il me pardonne. Mais cette époque est révolue. Je ne suis plus ni prédatrice, ni victime, je ne suis que fantôme errant. Sur cette terre trop ronde, ce monde trop n'ai pas ma place ici, je ne l'ai jamais eue, je m'en veux d'avoir pu croire, d'avoir pu penser que j'étais assez forte pour tout ça. Mais, la vérité m'a vite rattrapée, elle m'a jetée au sol sans ménagement. Ce doit être ce que certains appellent la justice, oui la méchante finit par périr, ne plus être que l'ombre d'elle-même. Mais qui choisit donc les rôles ? Se donnent la responsabilité et le droit de faire pencher la balance. Pourquoi jamais au bon moment ? J'ai eu ce que je méritais et pourtant j'enrage, je crie à l'injustice de mon existence. Je n'arrive pas à me plier à la volonté de ce destin qui n'ose pas choisir pour moi. Et je ris de la mort, je suis encore bien trop vivante. Même si mes membres décharnés, mes yeux cernés, corps, cœur et âme détruisent. Pour tout recommencer ou finir maintenant. Je ne parviens pas à choisir, à me mettre d'accord avec loin de ce monde de reviens à la yeux de l'ange me ce monde dois être un agent entre conscience et suis la fille du mort et et affliction. Le jour veut me voir nuit me mon être, ma tête et mes me demande d' cesser d'être cette créature se cherche sans se dois cet nuit me me je ne suis plus ne peux l'ignorer plus longtemps, il faut que je lui réponde, que je lui parle. Lui offrir moi aussi, les sons de ma voix. Après tout c'est moi qui ais commencé à lui parler cauchemars et malheur. Mes mains tremblent, j'ai si peur. Qu'elle ne soit que mon jugement dernier, là pour peser le bien et le mal avant de m'emporter dans les cieux ou de me rendre à mon berceau. Mais il n'y a pas besoin de balance, je suis mal je le sais. Je ne tente même pas de le nier, je le sais depuis trop longtemps. Cet inscrit au plus profond de moi. Au-delà du sang et de la chair, dans une dimension que je n'ai jamais été capable que d’effleurer. Que je redoute plus que tout. Car elle me ferait verser, irrémédiablement dans la noirceur, par n'importe laquelle, celle qui tue sans pitié, mais je ne peux pas me permettre, d'utiliser cette ultime horreur cachée en respire et sens mon cœur battre doucement dans ma poitrine … Boum… Boum…Je dois lui expliquer, lui Boum…Depuis le début… - La souffrance, petit ange, je la connais si bien, elle fait partie de nous tu sais . Parfois elle parts, mais ce n'est que pour mieux revenir… Chez moi, pour moi… Les larmes ne suffisent pas, j'ai essayé si tu savais, j'ai eu mal jusqu'à vouloir m'en déchirer en deux, mais je n'ai pas réussi, la mort ne m'attire pas, la vie non plus… Je suis coincée ici, vivant dans cette nuit infinie, fantôme errant, fuyant les démons de son passé. Mais je ne suis pas d'accord… Pour moi il y a deux sortes de douleur celle qui fait mal et celle qui nous change… Et moi je souffre, petit ange, j'ai mal, chaque jour qui passe, chaque seconde qui s'écoule mais j'attends. Attitude stupide ? Je n'en doute guère… Mais, je suis prisonnière de mes tourments, depuis si longtemps. Et au loin je vois, doucement, cet espoir qui s'enfuit devient de plus en plus inatteignable. J'aurais tant souhaité, retourner dans mon innocente, mais mes rêves sont terminés, le cauchemar a commencé quand j'avais cinq printemps et n'a jamais lointain, pourquoi est-ce que je parle ? Pourquoi dis-je tout ça ? Suis-je comme ça ? J'aimerais la soutenir, lui dire qu'elle a raison, rester optimiste, pour elle… Parce que ce petit ange qui me trouve à moitié morte en cet instant aurait mérité bien mieux que ce que je ne serais jamais capable d'offrir. Je lui offre mes yeux déchirés encore une fois, fini le regard perçant de la prédatrice, celui hautain de la noblesse et ce dernier dégoûté de de la sang pur. Oui, mon existence se résume en regard et chacun peut aujourd'hui lire ma douleur dans ces yeux à elle, j'aurais voulu montrer autre du néant, du vide, du aimé lui transmettre du remercier de sa présence, de son oreille surtout de sa voix qui résonne encore en si jolie mélodie, qui me fait cet Océan de je reviens sur la quittent mes cauchemars, il ne faut pas que je nouveau dans la folie de la avec elle, je ne me le permettrai simple paria à qui elle prend le temps de sais que je ne mérite pas cette elle ne semble pas peut-être n'y fait elle pas anges sont tellement la vois différente et pourtant si façon de parler de la ? A-elle déjà vécu cela ?Est-ce elle aussi une miraculée ?Descendue des cieux pour m'aider et me elle nie, elle a nié, je ne sais plus quoi penser. J'aimerais qu'on m'éclaire, apprendre à la découvrir, voire ce qu'il se cache chez cette jumelle lumineuse, ce bon côté du miroir. Âme de lumière pour cœur de noirceur. Ange et démon rassemblées pour pouvoir survivre à la vague mortelle qui se rapproche dangereusement de l'enfant qui ne possède pas d'ailes. L'eau lèche le bord de la plage, le poison s'infiltre dans le sable. Le serpent regarde le tout sans expression même si elle sait que quand le liquide néfaste arrivera jusqu'à elle, elle en mourra sans possibilités de retour en arrière. Elle est au courant et ne semble pas s'en préoccuper, peut-être est-ce dû au fait que ce sont en partie ses propres larmes et le sang qu'elle a fait couler qui ont contribué à alimenter la marrée qui s'approche de plus en près d'elle, planant délicatement, il y a un ange, créature céleste dont la mission est de voler au secourt de la diablesse. La vague se rapproche les deux enfants le savent, un reste neutre, l'autre tente à l'aider. De la faire reculer, même si ce n'est que pour quelque temps. Il faudrait le faire, construire cette digue, ce brise-lame, capable d’empêcher d'avancer, faute de savoir l'éradiquer, ce poison, cet acide, qui meure d'envie de venir lécher les pieds de la petite démone qui ne réagit plus. On pense que son heure est sans doute venue, peut-être est-ce vrai. Mais il y a encore dans ce monde de blancs et de noir. Des gens pour croire que rien n'est perdu. Que la vie continue. Et là-bas sur cette plage de sable blanc, la marrée noire avance les seconde et l'angoisse qui monte, dans le cœur de l' diablesse est entravée, l'eau a tant attendu ce ne peut plus se battre, elle n'a jamais pu, bien trop faible, il est temps de prendre le sur cette plage, une forme blanche, qui se bat à coup de de compréhension qui réveille doucement le petit l'inciter à continuer, à dépasser, à construire un arrêter cette mer de l'enfant de la nuit prend la main de l' que l'eau néfaste pousse son premier hurlement d' est une redoutable force de vie… Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Dim 5 Mar - 2221 - La souffrance, petit ange, je la connais si bien, elle fait partie de nous tu sais. Parfois elle parts, mais ce n'est que pour mieux revenir… Chez moi, pour moi… Les larmes ne suffisent pas, j'ai essayé si tu savais, j'ai eu mal jusqu'à vouloir m'en déchirer en deux, mais je n'ai pas réussi, la mort ne m'attire pas, la vie non plus… Je suis coincée ici, vivant dans cette nuit infinie, fantôme errant, fuyant les démons de son passé. Mais je ne suis pas d'accord… Pour moi il y a deux sortes de douleur celle qui fait mal et celle qui nous change… Et moi je souffre, petit ange, j'ai mal, chaque jour qui passe, chaque seconde qui s'écoule mais j'attends. Attitude stupide ? Je n'en doute guère… Mais, je suis prisonnière de mes tourments, depuis si longtemps. Et au loin je vois, doucement, cet espoir qui s'enfuit devient de plus en plus inatteignable. J'aurais tant souhaité, retourner dans mon innocente, mais mes rêves sont terminés, le cauchemar a commencé quand j'avais cinq printemps et n'a jamais mots coulent à flot, comme l'encre d'une plume qui se déverse sur un parchemin, comme les doigts agiles d'une jeune fille dansant sur un douleur se déverse de la plaie, le poison coule, goutte, pullule, se répand hors du système. Mais soudain je doute. Terriblement. Est-si c'était une erreur immense que de la faire parler, que de l'éprouver d’avantage?Chaque mots semblent lui si ils venaient comme des écarteurs, éloignant les deux bords d'une plaie, qui peine déja tant à se envie de me mordre les lèvres et... même de pour moi pour mon sort, je n'ai pas à m’apitoyer. Je me me semble me sens tout ce que je ne peux pas lui son passé que je ne peux pas sa douleur que je lui fait regrette presque aussitôt de m'être penchée sur elle, ce n'est pourtant pas l'envie, le cœur qui j'ai peur, terriblement ne servir à rien. Pire, peur d’aggraver la plus tard, de la n'étais pas là quand Mary avait besoin de moi, je ne sais comment ne veux pas la forcer, pas la blesser d’avantage, je n’aurais peut être pas dû m’appelle petit ange encore…Je me sens soudainement cette cette n'a rien de je n'ai rien de ne mérite pas ce titre, cette n’ai rien fait de n’ai rien fait du c’est ce que je fais le ne cause de tord à ne critique ne blesse pasJe ne me mets personne à ne suis pas en fin de de les vies de de point fixe, pas d' pourtant, aujourd' la la la me sens reliée. Tenue par ce cette dans ces son son son passé qu'elle vient de suis ans…Son sort était suis au bord des bord de la estomac est atrocité…Mais qui aurait osé ?Toucher à une sa pureté voler son tendres douceurs de son même si quelques déceptions venaient entacher son jeune ce que quelques erreurs, dans la vie d’une enfant sage?Elle est ici au demi-vie vie maudite lui vie davantage emplie de petites morts que de je la sorcière qui se tient aurait devenir un Obscurus, s’ tient-elle bon depuis tant d'années?C'est inhumain?Son sort la une sorte de miraculée?Gabrielle, tu n’es pas là pour a mal, elle ose le de temps t'es tu tues/tuée avant de faire de idiotie. Tu as mal, tu n’es pas le mal ! La nuance est tellement nécessite d’être n'es pas devenue rien ne semble t' douleur, je l'ai connu parles de celles...Celle qui nous fait mal…Celle qui nous change….Comment une douleur pourrait nous faire changer sans avoir mal ?Comment ne pas changer quand on a mal ?C’est sont toutes deux aussi mort ne m'attire pas, la vie non plus… Un seul monde m’attirait aussi, celui des rêves, il abolissait tout, lois, temps, espace, moins c'est ce que je croyais, j' je sais. Aucun issue de cette brûle tant que le sang relativise sa moment de bonheur est un don du ciel à côté de chaque souffrance a eu ce second départ, cette seconde chance, ce renée de mes cendres? Pas complètement. Chaque chose en son jour viendra, la résurrection sera attendant, cette fille t' ne peux pasla sauver pour ml' tu peux la ramener d'une petite par là qu'il faut ne suis pas féru de contact charnel, mais je sais ne pas en être avare quand il y en a me semble que je doit lui tendre, lui bouée, qui l’aide à flotter le temps de resaler. Une épaule sur laquelle s’appuyer le temps de remonter en main pour maintenir la sienne le temps de prendre une De renouveau. D'envie. De soutien. De volonté. De force. De suis disposée à tout lui moins à peut tout moment qu'elle ne cherche pas à m'utiliser. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Sam 11 Mar - 1225 J'ai oublié, me suis temps l'instant et les secondes qui ne cherche plus rien d'autre que cette ne veux pas m'achevez, qu'il me laisse ne supporte plus d'être ainsi je ne réfléchis plus, n'en ais plus de tout analyser, je suis bien trop n'ai pas envie de me un mur de à s' veux simplement cette légère brise contre mon juste être là, ici et n'ai plus à chercher autre montrer, que je ne suis pas encore je peux continuer à me battre, un seul tout mes démons avant de cet ultime champs de guerre à assez ne suis pas faites pour être soldat, je ne suis pas née pour tenir une arme, mais pourtant c'est au fond de moi que ce cache le poignard. J'ai tant voulu le détruire, me détruire pour évacuer le poison de mon sang, mais je n'y suis pas parvenue, je n'en étais pas capable, bien trop fable pour faire ce genre de manipulation, j'ai eu peur du feu, peur de me brûler. Alors j'ai simplement attendu, que le verdict tombe, que ma mort approche, mais l'agonie est lente et au lieux de me donner l'envie de vouloir mettre moi même un terme à mon existence, elle m'offre une cruelle illusion appelée espoir. Je ne sais pas, ne sais plus, si je dois y croire ou bien fuir ce mot qui me semble à la fois bienveillant et menaçant pour ma qualité de spectre. Si seulement rien de tout cela n'était arrivé, si je n'étais qu'une enfant de banalité. Mais le cruel destin en a choisi autrement, alors je me tais, je me plie, exauçant la moindre de ses exigence puisque je n'ai pas le choix, comme une esclave j'obéis bien qu'entre mes dents les haine est bien présente envers ce maître veux fermer les yeux, me recroqueviller et m'endormir, peut être à jamais, peut-être pour une nuit, je ne veux pas savoir. Chaque membre me fait mal mais je m'applique à souffrir en silence, même si les autres le remarquent, je n'ai pas le choix. Doigts qui passent sur mon visage, mes cernes, mes lèvres. Mains qui retombent au sol sans comprendre ce que le corps reflet de l'âme à pu devenir. À l'heure où le soleil semble briller si intensément, là sur l'herbe du vert printemps l'âme déchirée reste mais pas seule. Enfant accompagnée, par ce que les yeux voient comme un ange, alors le contact d'une main pour ne rien lâcher, la surprise, brin d’espoir, nouveaux regard. Lentement, petit à petit, une confiance nouvelle qui naît envers l'ange pour l'enfant des brise qui vient faire voler les mèches et je me sens si faible, j'ai tant besoin de cette impression, comme un désir de me sentir à l’abri, protéger de ce danger incessant qui semble planer sur moi. Regard suppliant, regard d'enfant quand je me rapproche pour la serrer dans mes bras, juste quelques instant de contact, le temps d'une larme qui tombe, avant de retrouver la distance, mais les doigts pourtant toujours entremêlés. Alors je souris, non visiblement mais bien intérieurement. L'autre à mon âge pourtant je la vois plus grande, pas adulte car je ne leur accorde pas ma confiance, pas grande sœur, pour moi elle ne sont pas forcément gentille, peut être simplement comme une amie ? Je ne suis pas spécialiste de ce terme, généralement les relations que j'ai avec autrui ne sont que rarement positive mais bien d'animosité. Pourtant alors que je ne l'a connais qu'à peine, je ne peux m’empêcher d'avoir cette impression ce sentiment que le petit ange est belle et bien d'empathie et non un être cruel près à retourner les apparence et me plonger un poignard dans le dos. Je serre un peu plus les doigts de l'ange et tourne la tête vers elle. J'ai envie de parler, lui dire quelque chose, simplement faire couler les mots hors de ma gorge et les laisser se répandre autour de moi, pour rentrée vidée au château et peut être même réussir à m'endormir. Mais les phrase restent bloquée et j'enrage de ne plus être capable de faire sortir les mots de mes lèvres, je ne suis pas douée pour communiquer mais j'avais pensé, simplement espérer que cela puisse être différent, que je pourrais lui confier, mais maintenant que la première vague est sortie plus rien ne veux s'échapper. Cruelle tant te raconter petite ange, te partager comme je l'ai fait, la douleur, les malheurs, les pleurs. Mais qu'en ferais tu ? Cela ne t’empêcherait-il pas de dormir ? Serais-tu vraiment apte à m'aider ? Je ne veux pas te causer de soucis, je n'ai même pas envie que tu te retrouve mêlée à tout ça, pourtant j'ai cet irrépressible besoin, cette envie de te confier un partie de ma vie, pas spécialement le passé mais que dirais-tu du présent ? C'est plutôt un beau cadeau non ? On peut en faire pratiquement ce qu'ont en veux, lui offrir la forme désirée et quand viendrons les jours sombres et qu'il sera passé alors les souvenirs émergerons et apporteront un peu de sérénité. Qu'en penses-tu ? Veux tu faire partie de mon présent ?- Comment t'appelles-tu ?Honte à moi de ne pas simple nom de l' humaine de cette perdu au loin, pour une ne sais que faire, que peur qu'elle s'en aille, qu'elle me je ne veux pas que tu souhaite tu puisse faire partie de mon que tu seras d' sais que ce n'est pas une proposition en je te fais confiance, pour en faire de te montrerais que je peut être digne de ensemble nous repousserons la marée noire. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Lun 1 Mai - 1510 Alors qu’une main tendue. Sonne comme une s’empresse d’accepter et même de prend mon bras, et mon torse tout rapprochement inattendu qui me pousse dans mes n’ai jamais connu telle refoule les pulsions premières qui me crient de élan d’affection vécu comme une refuse de céder à cette souvenirs qu’être maintenue vient me n’est pas sens cette tonicité, loin d’une froideur pesante. Mais d’une présence, d’une confiance projetée, accolade perds son regard le temps de cette embrassade. Puis le retrouve quelque chose dans ce regard, d’un peu fragile et de léger comme un vient de naitre. Que je lui ai pacte est donc pris mes responsabilités, de ne pas la décevoir, ne jamais la laisser contrat signé sans plume et sans encre ni papier. Loin des traîtres traités négociés, puis dans le néant le silence d’un de ce pas le continuum dans lequel l'on se perd, l'on se vies bruyantes s’en sont dans le silence de ce matin là, nous nous sommes un brin d’herbe ne gémit, pas une pierre ne grince, pas un souffle ne soupire à mes sont là bien sûr, musiciens du monde j’ai éteint mon ouïe, j’ai court-circuité le câble qui nous seule vérité présente à mes yeux, la seule qui fait du bruit est l’enfant voix qui tintinnabule. Comme une clochette d'argent annonce un bon Comment t'appelles-tu ?Question étrange. Ou ponctue les premières rencontres. Simple code à respecter. Ou véritable de curiosité. D'envie. Donc de je m’appelle ? La question se pose si je n’étais plus simplement moi-même. Comme si je n’existais plus indépendamment d’ demander, alors que tu m’as déjà appelée?A ma naissance, j'ai reçu un prénom, une envie héritée de mes géniteurs, que je n’ai pas m'appelle...Non je ne m'appelle pas. J'ai été nommé, voilà ce qu'il est juste de prénom ne me déplaît pas, ne vous méprenez pas. Mais je ne comprends pas l’intérêt portée à cette information qui ne me définit pas. Mais comme je ne suis plus là pour moi, je réponds ce qu'elle veut J'ai reçu le prénom de crains de retourner la question. A l’entente de la souffrance passée que je vais ramener. Mais trop tard, une norme de réciprocité est activée, piètre humaine que je suis, je peine à y résister. Un échange de bon procédé, une reconnaissance réciproque activée. - Comment souhaites-tu que je t’appelle ? Je te laisse protéger ton passé, ton identité. Tu existes pour moi en tant que ce que tu choisis d’être. Tes tortionnaires ne te définissent pas. Vanille FleurySerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseVanille Fleury, le Lun 1 Mai - 1922 Parfois la vie est une traîtresse, souvent elle nous blesse poignard dans le dos, perle qui coule et la au la lune rit de nos malheurmais aujourd'hui pasalors que tout laissait penser que c'était bientôt la fin que l'enfant offrait son dernière soupire ses dernières larmes d'un voile qui se déchireune apparition lumineuse sur la douce et fraîche roséeun pas léger et pas d'ange comme une étincelle dans la nuit ta main, ma main pour un matin sourire plus brillant que l'astre timide ses yeux qui offrent l'envie de se battre celle de remonter la pente de retrouver cette envie de ses mots, sa voix qui résonne comme une douce mélodie, symphonie du matin dans le ciel clair et sous le chant des oiseaux, à elle seule elle vient construire un paradis qui éloigne les maux, mes maux… Une douleur si vive qui règne dans mes plaies à vif aux cicatrices que l'on espère mais qui restent absente. Et elle. Je peux presque voir ses ailes qui nimbée d'une merveilleuse éclaircies comme l'on en trouve qu'aux petits matin d'hivers restent sagement dans son dos, j'aurais presque peur, oui, effrayée qu'elles ne s’animent et fasse s'envoler la jolie fille. Mais tout cela n'est pas plausible, ma tête résonne tendis que je me demande comment j'ai pu penser être abandonnée par elle alors qu'elle m'offre un bout de paradis. Où pourrait-elle donc s'envoler si ce n'est ici ? Je ne sais pas alors je me dis qu'il n'y a pas d'autre dans un tourbillon de sérénité qui m'emporte au loin je ne cherche pas à résister, je n'en ai plus envie, simplement portée à écouter l'écho de son nom dans le parc qui ne m'a jamais paru aussi accueillant. Gabrielle… Gabrielle… J'avais raison, c'est bel et bien un ange qui se tient à mes côtés, un ange qui va m'aider à me battre ou du moins penser mes plaies, oui je ne suis pas sûre qu'elle puisse m'aider, cette bataille contre les démons de mes cauchemars est la mienne et personne ne peux faire le travaille à ma place, au fond quand bien même elle pourrait je ne serais pas d'accord, j'ai trop peur qu'il ne lui arrive du mal, qu'elle ne se fasse blesser par ma faute. Il n'y a pas que moi qui ait pu souffrir, elle n'ont plus n'a pas du avoir la vie toute blanche sinon elle ne serait jamais devenue l'ange que je vois en elle aujourd'hui… Chaque mot comme une pommade, un baume qui soulage les blessures et rend la douleur supportable, je ne sais pas si elle voit, si elle se rend compte du soulagement qu'elle me prodigue, certes il serait dommage qu'elle n'en ait pas conscience mais cela ne m'étonnerait pas vraiment, un ange ne se présente pas comme tel, c'est d'ailleurs bien pour ça qu'elle a tenté de nier, elle me rend heureuse sans le savoir comme si ce n'était pas déjà assez merveilleux comme ça qu'elle le fasse tout simplement. La phrase prend une tournure d’interrogation et je plonge mon regard dans le sien déterminée à ne jamais lâcher cette petite bénédiction du ciel qui est venue se poser près de moi. On pourrait penser ses mots pareils au mien mais la nuance est importante, comme si elle ne s'arrêtait pas au simple fait d'avoir un nom mais bien à celui que j'aimerais recevoir de sa une conversation mise dans le désordre où l'on commence par se livrer avoir d'offrir son identité, la formule me plaît, je ne vois pas pourquoi il devrait y avoir un quelconque ordre de discussion après tout… Un ange, oui cela te va à merveille… Tu resteras mon petit ange… Rester sur mes positions, c'est peut-être un peu idiot mais je trouve que ça lui va très bien, l'ange Gabrielle, que vient elle donc m'annoncer ? Une clef pour la liberté ? La plus part des gens de ce monde me nome Ellana et je n'en suis pas dérangée j'aimerais juste que jamais tu n'utilises mon nom de famille… Peut-être que cela peut paraître stupide mais les entendre à travers moi me glace d'horreur. Yeux qui s’abaissent puis bien vite se relèvent, ne pas la quitter, ne pas fuir ses beaux yeux, rester avec elle, encore, juste un peu… J'aimerais à nouveau entendre le son de sa voix mais elle semble se taire, puis le moment en tout cas, mon regard se perd dans l'infini du paysage qui me semble soudain plus lumineux que d'habitude, est-ce donc sa présence qui rend le tout plus magique, plus merveilleux ? Qu'a t-elle donc fait à mes yeux ? Ses doigts dans les miens entrelacés comme si jamais ils ne pouvaient réellement se quitter, je te connais depuis quelque temps seulement, pouvant compter en minutes les véritables moment que nous avons partagés et pourtant tu es l'une des personne qui j'ai de plus chère, merci d'être là petit ange, merci de me rendre un peu de joie, un simple sourire sur cette terre glacée pour simplement réchauffé mon cœur, mon âme aussi gelée. Non, il n'y a rien de plus magique que ce sentiment de vie que tu m'offres en cet regard emmêlés,pour continuer d'avancer le monde peut bien tomber je continuerais d'exister tant qu'elle reste à mes côtéset continue à me protéger je crois en elle comme je n'ai jamais cru parce qu'elle est là et vivante avec pourtant une telle irréalitécomme si j'allais finir par me réveiller et découvrir que j'ai tout rêvermais non, elle est bien là et tout est trop réel pour n'être qu'illusionalors je me raccroche à cet espoiret fais un pas de plus vert cette lumière au fond du couloir. Galatéa PeverellSerpentard Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGalatéa Peverell, le Mer 28 Juin - 2101 HRP Nous vous invitons à répondre à la suite des posts pour écrire la réaction de votre personnage s'il tombe sur l'un des tracts. Un sort conditionnel a été lancé sur les prospectus par Morrìgan ressemble à un journal lambda jusqu’à ce qu’un sorcier/moldu en rapport avec la magie ou autre le toucheRP uniqueSe déroule au petit matinEncore une nuit. Encore l’ennui. Encore les frasques de l’insomnie. Demain elle irait voir l’infirmière pour lui demander des somnifères, mais ce soir elle préférait mettre son trouble à contribution. Ce soir, elle avait une mission. La première. Alors, forcément, Ester avait envie de bien faire. Elle avait d’hors et déjà prouvé qu’elle savait être au mauvais endroit au mauvais moment, il fallait maintenant prouver qu’elle était capable de plus. De mieux ! Plus encore parce qu’elle comptait les rejoindre. Son insomnie, Ester décidait donc de l’utiliser pour arriver à ses fins. Pour la bonne cause. Avec l’espoir de sauver quelques âmes. La dernière année se leva donc, s’habilla de noir, masqua son visage. Et la voilà partie, prospectus dans un sac agrandit magiquement. Ce soir elle comptait bien s’amuser. Ce soir elle ferait de la magie. Demain elle constaterait de l’effet qu’aura eu son œuvre sur les autres. Dans le parc, les prospectus en forme d’oiseaux ne manquait pas. Certaine d'être toute seule et d'en avoir presque terminé, Ester se laissa aller à fredonner une chanson."Au clair de la Luuune,Mes amis vos pluuuumes,Pour écrire un espoir est mooort,je n'ai plus le la foooorce,Pour ressuscité".L' membre du derniers jours ont été une grande épreuve. La prise en otage de certain d'entre vous, l'attaque au sein même de l'école de magie la plus réputée au monde, et la disparition d'un directeur qui ne vous protège plus par son absence. Ce message est pour qui doutent, qui ont peur, qui sont qui se rebellent, qui n'en peuvent plus de ces vous demandons de vous relever de ces épreuves. Cette expérience face aux attentats ne vous ont pas rendu plus faible. Seulement, pour certain, plus vulnérables encore par la fatigue et l'habitude. Nous vous demandons de ne pas céder à toute avance des mages-noirs autant dans la vie que dans vos esprits, dans vos cœurs comme dans vos corps. Certains ont été blessés, certains sont indemnes. Mais votre résistance font de vous des combattants contre l'injustice, le doute et la peur. Certain d'entre vous ont-il déjà reçus des cours sur les Patronus, ou en ont peut-être déjà enseigner ce thème un formidable bouclier, défenseur contre la peur. Et bien, cher membre du personnel, nous vous demandons de lever ces boucliers face à la peur d'un attentat nouveau. Nous vous demandons de résister aux Mangemorts, véritables Détraqueurs de notre société. Mais n'oubliez pas, membre du personnel, que les Mangemorts sont de piètre Détraqueurs. Il est plus facile de se battre contre un homme, une femme, un adolescent emplit de haine et chercheur d'un faux pouvoir que de se battre contre la peur elle même et son baiser de mort. La peur de la faiblesse ont fait d'eux des illuminés capable de tuer leurs familles, et de se briser eux-mêmes. Cher l'humanité n'est pas une faiblesse. C'est une force qui se nourrit de ce que nous avons de plus commun. De plus ancien. Chaque pas vers la solidarité, vers le courage et vers la tolérance vont vous rapprocher d'une magie ancienne, plus combative et plus forte encore. Les meilleurs boucliers ne se forment pas avec plusieurs baguettes ? Les Patronus ne viennent pas en aide grâce à vos meilleurs souvenir ? Ceux-ci ne sont pas emprunt d'amour ? D'amitiés ? De compassion ? D'empathie ? membre du personnel. Nous ne vous demandons pas de vous battre sous un même étendard. Nous ne vous demandons pas de vous battre sous les feux du Phénix. Nous vous demandons de vous battre et de résister pour vous, et avec vos propres armes. Vous qui formez l'individualité dans la société. Vous, qui, par vos actions individuelles, sauvez l'Humanité et votre intégrité, telle une fourmilière. Si chacun d'entre vous se bat pour lui… Alors c'est toute la société qui se rassemblera sous une seule et même force, une seule et même puissance Votre renoncement à la peur, au doute, afin de participer au combat contre les ténèbres qui vont si souvent vous priver de quelque chose, de quelqu'un, et même parfois de votre propre vie. Que vos baguettes se lèvent. Que les Patronus se rassemblent. Luttons tous contre l'obscurité pour être encore libre de nos propres choix, et nos propres vies. N'oubliez pas, si vos baguettes vous ont choisies, ce n'est pas pour être esclave des ténèbres, mais pour être manipulés par vous et par vous seuls. Pour vos propres capacités, vos propres pensés. Brandissez là, faite lui confiance. Vous vous protégerez du Phénix. Codage de Louna ©Edit Lizzie Bonjour Rachel. Conformément au Règlement RPG, en zone RPG, votre post doit contenir un minimum de 600 caractères, citations et formulaires exclus. Celui-ci en fait 286. Merci de bien vouloir éditer votre message pour le compléter et de faire plus attention à l’avenir. Cordialement. Gabrielle PhoenixSerdaigle Re Dans le jardin, sur la belle pelouseGabrielle Phoenix, le Ven 30 Juin - 156 Hop là! Même si je tarde à répondre, ce rp pv se curieux cette façon qu’elle a d’employer la négation. Son appellation commune ne la réjouit pas, elle ne l’apprécie pas, mais elle ne la dérange pas non plus. Je me pose alors mille questions, sur ce qui peut la déranger, quoi de plus qu’un nom ? Moi je le trouve plutôt enjoué. Hé Lana ! Comme une amie que l’on interpelle depuis l’autre côté de la cour. L’impatience est si grande de la retrouver, que ce cri fend la foule, car il nous tarde de nous retrouver. Et Lana. Quelle est sa moitié ? L’autre partie, l’être auquel elle est juxtaposée. Avec qui une paire indissociable est formée. Ellana. Elle ne le sait peut-être pas, mais elle a deux ailes, elle aussi. En tout cas, moi je les vois. Mais elle semble abîmées. Déchirées. En lambeaux. Tailladées au couteau. Des lames lui ont volé sa liberté. L'ont clouée au sol. Sans chaîne la retiennent prisonnière. Mais je vais l'aider, à regarnir ses ailes de plumes plus éclatantes que jamais. Pour que dans les cieux, les deux cavalières, pas de l'Apocalypse, de la Voie Lactée chevauchent en toute tranquillité. Je la sens. Avec mes yeux tout simplement, je la vois. Je ne peux détacher mes yeux de son visage esseulé. Sa peau me semble s'être opacifiée. Pour qu'elle ne laisse rien paraître. Une carapace. Pour garder les blessures à la surface. Pour ne pas se laisser transpercer. Je la sens tactilement. Nos mains entremêlées. Sensation que je n’ai pas l’habitude d’éprouver. Je n’aime pas être touchée. Partager les choses par ce biais. Mais je la sens autrement. Je la sens étonnamment dans mon cœur, dans lequel elle vient de se nicher. Doucement, durant les minutes écoulées, elle a entrebâillé cette petite porte, que je ne pensais pas si facile à pousser. Elle s’est faufilée dans un silence entre deux battements. Et là voilà installée. Dans un fauteuil solidement ancré dans le plancher de cette chaumière. Qui ne renferme que trop de chaises. Que trop peu de dossiers occupés. Là voilà calée près de l'âtre d'où elle ne pourrait être déloger sans grandes est là. Solidement accrochée sous ma peau. Même si je lui lâchais les mains maintenant, nous resterions étroitement liées. Mais je ne suis pas tout à fait prête à la laisser aller. Je suis ici pour la relever. Commençons par quitter ce sol gelé. Lentement, en s'appuyant d'abord sur elle pour me redresser, puis en la tirant vers le haut, en faisant débuter son ascension, j'entreprends de la ramasser. De la cueillir délicatement au milieu de la rosée désormais estompée. Les deux silhouettes recroquevillées sont désormais debout, à la merci des vents, et de leurs vies. Mais jamais elles ne retomberont aussi bas que édition par Gabrielle Phoenix le Dim 21 Jan - 1852, édité 1 fois Re Dans le jardin, sur la belle pelouseContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum on nous demande souvent si le gazon peut être installé en hiver. La réponse à cette question dépend à la fois de la région du pays dans lequel vous vous trouvez et du type de gazon que vous installez. le gazon de saison fraîche fétuque haute, Bluegrass du Kentucky, fétuque Fine peut être installé toute l’année dans l’ensemble des États-Unis. Ils sont plus habitués au temps frais et peuvent tolérer d’être plantés en plein hiver., S’il est installé au milieu de l’hiver par des températures glaciales, le gazon pourrait reposer en dormance sur le sol et reprendre sa croissance une fois que le temps se réchauffera en Mars. Cette brève dormance hivernale dans les herbes de saison fraîche est normale dans la partie nord du pays. saison chaude l’herbe à gazon Zoysia, Bermudagrass, mille-pattes, peut être plantée toute l’année dans la partie sud du comté, mais ne devrait être plantée pendant la saison de croissance que dans les régions du pays soumises à un gel à long terme., La raison en est que de longues périodes de temps sous le point de congélation peuvent tuer les herbes de saison chaude fraîchement établies car elles n’ont pas de système racinaire développé. Dans le Maryland, cela signifie que Zoyia et les Bermudes devraient être installés entre avril et fin septembre L’hiver est en fait un bon moment pour installer sod! le Gazon va durer jusqu’à deux semaines lorsque la température est en dessous de 40 degrés! Cela signifie que vous avez plus de temps pour terminer votre projet. Moins d’eau!, Vous n’avez généralement besoin d’arroser le gazon qu’une fois après l’installation s’il est installé en hiver. Les températures plus fraîches et les précipitations plus fréquentes garderont le sol humide pour la nouvelle herbe. Il va stabiliser le sol. Le gazon fait un meilleur travail pour prévenir le ruissellement par rapport à la paille. Devrait être quelque chose de différent lors de l’installation de gazon en hiver? Il n’y a que deux différences lors de l’installation du gazon par temps froid en hiver Le gazon ne doit être arrosé qu’une seule fois après l’installation., Le temps frais garantira généralement que le sol reste suffisamment humide après cela. Si le temps se réchauffe soudainement après l’installation du gazon, il peut être judicieux de vérifier que le gazon reste humide chaque jour. Vous n’avez pas besoin d’utiliser un engrais de démarrage si vous installez dormant de l’herbe. L’herbe ne pousse pas activement et n’utilisera donc pas l’engrais. Il est préférable d’attendre que le temps se réchauffe, puis d’appliquer un engrais de démarrage. le gazon peut-il être installé sur un sol gelé?, Oui, le gazon peut être installé en toute sécurité sur un sol gelé tant que le sol a été préparé correctement avant la congélation rototillé et ratissé lisse. Quelques autres choses à penser… gardez ces autres points à l’esprit lors de l’installation du gazon en hiver Le gazon laissé dehors pendant la nuit pourrait geler par temps froid! Cela ne nuit pas à la plante, mais pourrait le rendre difficile à dérouler. Il est préférable d’installer le jour même où vous le recevez, ou au moins bâcher le gazon inutilisé pour empêcher le vent froid de le geler. Vous devez arroser le gazon au moins une fois après l’installation., Assurez-vous que vous avez accès à l’eau et que le système n’est pas hiverné ou gelé! besoin de plus d’informations? Nous adorons parler de gazon et gazon. Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir nos coordonnées! Pourquoi mon gazon ne pousse pas ? Trop d'eau, trop de cailloux…, les raisons sont multiples. Attendre un bon mois, arroser moins, regarnir… sont autant de solutions pour le faire 15, 2022İçindekiler1 Comment faire germer des graines de gazon ?2 Pourquoi les graines de gazon restent en surface ?3 Quand l’herbe ne pousse plus ?4 Comment voir si le gazon pousse ?5 Comment faire germer une graine le plus rapidement possible ?6 Comment accelerer la pousse du gazon ?7 Comment savoir si les graines de gazon sont encore bonnes ?Il est important que le sol reste frais. L'arrosage qui suit le semis doit se faire en pluie fine afin d'offrir le taux d'humidité nécessaire à la croissance des graines. Pendant 8 à 10 jours après le semis, arrosez vos graines 2 à 3 fois par jour pendant 5 à 10 minutes pour obtenir de meilleurs les graines de gazon restent en surface ?Après votre premier arrosage, il est normal de retrouver des graines en surfaces, c'est des graines perdu ou pas. Votre futur gazon son les graines qui sont dans le sol et que vous ne voyez l’herbe ne pousse plus ?Dès que les nuits froides commencent, l'herbe commencera à hiverner et cessera de pousser. C'est alors que vous devez tondre votre gazon pour la dernière fois de l'année. La dernière coupe de l'année se fait normalement environ une semaine avant le premier environ trois semaines pour voir apparaître les premiers brins d'herbe. Évitez de marcher sur votre tout nouveau gazon avant que celui-ci soit bien sorti de terre. Il est conseillé d'attendre que l'herbe mesure environ 10 cm avant d'effectuer la première tonte. Celle-ci ne devra pas être trop faireFrottez vos graines entre les feuilles de papier de le récipient, mélangez l'eau et le vinaigre de tremper les graines dans l'eau vinaigrée toute la lendemain, rincez les plantez-les en terre comme d' 1, 2020Utilisez un désherbant avant de semer. 30 jours avant de semer ou de déposer de la tourbe, vous pouvez utiliser un désherbant pour éliminer les mauvaises herbes afin d'obtenir une pelouse bien ventilée et propre. Cela permettra à votre gazon de pousser plus rapidement et immédiatement en bonne tests pour vérifier que vos graines sont encore bonnes à semer. Le test de germination le plus courant consiste à verser les graines dans un bol rempli d'eau. Celles qui coulent sont encore bonnes à semer.

le gazon pousse la nuit ou le jour